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« De la Molécule aux Nano-objets : Réactivité, Interactions et Spectroscopies » UMR UPMC-CNRS 8233. Il s’agit de saisir l’opportunité de la structuration nouvelle de la Chimie à l’UPMC (fédérations de recherche, LABEX MiChem & IDEX Super), pour poser les bases d’un regroupement de la Chimie-Physique à l’UPMC.
Outre le développement des synergies scientifiques évidentes de ce regroupement, notre ambition est, en mutualisant des savoirs, des compétences et des moyens, d’atteindre une taille critique qui permettra à MONARIS de remplir pleinement ses objectifs et ses missions dans un contexte national et international de plus en plus compétitif.
La complémentarité des recherches s’affirme au travers des approches différentes de nos deux laboratoires pour aborder la compréhension des systèmes complexes :
- le LM2N avait une approche « Objet » pour comprendre la synthèse, la nanostructuration et les propriétés physico-chimiques nouvelles qui en résultent. Son cœur de métier est l’auto-assemblage de nanocristaux inorganiques afin d’élaborer de nouveaux matériaux (notamment des super-organisations) dont il cherche à comprendre et exploiter les propriétés physico-chimiques.
- Le LADIR a développé une approche « Conceptuelle » qui s’étend de la caractérisation structurale et énergétique des petites molécules à celles des solides nanostructurés : des méthodes d’investigation non-destructives spécifiques à l’état et aux dimensions des objets afin de répondre aux grandes problématiques sociétales (pollution atmosphérique et Chimie interstellaire, énergie et conversion du CO2, Chimie durable et Patrimoine culturel).
Le Monaris appartient à l’école doctorale 388 : Chimie Physique et Chimie Analytique
Il est membre de la Fédération de Recherche IP2CT FR2622 avec le Laboratoire de Chimie Théorique (UMR7616) et le Laboratoire de Chimie-Physique-Matière et Rayonnement (UMR7614).
Le LCT – Laboratoire de Chimie Théorique – est une unité mixte de recherche placée sous la double tutelle de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC, Paris 6) et du CNRS (INC).
Les domaines d’intérêt du laboratoire recouvrent l’ensemble des aspects fondamentaux et des champs d’applications de la chimie théorique : cette étendue de compétences, affichée et reconnue aux niveaux national et international, fait la spécificité de l’unité.
Ses compétences s’étendent de l’innovation théorique ou méthodologique dans les approches DFT (Density Functional Theory), QMC (Quantum Monte-Carlo) ou QM/MM (développements de champs de forces) aux modélisations et simulations numériques de systèmes complexes interessant la chimie moléculaire organique, inorganique ou organométallique, la chimie aux interfaces, l’astrochimie, ou la biologie.
Les recherches conduites trouvent leurs aboutissements dans ces larges domaines que constituent la catalyse, la synthèse asymétrique, la toxicologie moléculaire, la chimie des milieux extrêmes en phase gazeuse ou condensée, la pharmacochimie moléculaire ou l’étude/élaboration de nouveaux matériaux.
Ces thématiques s’inscrivent toutes dans un thème de recherche fédérateur reposant sur l’étude des aspects épistémologiques, sémantiques et conceptuels de la chimie (développements de méthodes interprétatives et rationalisation des concepts fondateurs issus de la chimie expérimentale).
Le Laboratoire relève de :
- la Faculté de Chimie, UFR 926
- l’Ecole Doctorale 388 : Chimie Physique et Chimie Analytique
- l’Institut Parisien de Chimie Physique et Théorique IP2CT (FR2622) avec, comme partenaires, le Laboratoire de Chimie-Physique-Matière et Rayonnement (UMR7614) et le Laboratoire MONARIS (De la molécule aux nano-objets : réactivité, interactions et spectroscopies, UMR 8233).
Le Laboratoire de Chimie Physique-Matière et Rayonnement (LCPMR) est une Unité Mixte de Recherche rattachée à l’Université Pierre et Marie Curie et aux instituts de chimie et de physique du CNRS. L’unité est située dans le Laboratoire de Chimie Physique sur le campus Curie-Ulm, rue Pierre et Marie Curie dans le 5e arrondissement, et regroupe des équipes de physico-chimistes et de physiciens, expérimentateurs et théoriciens, spécialisés dans l’étude des interactions rayonnement-matière.
Les activités scientifiques de l’unité s’inscrivent au coeur de la recherche fondamentale pour l’étude de la matière et de ses interactions avec le rayonnement. Les systèmes étudiés vont de la matière condensée (matériaux complexes, interfaces), aux atomes, molécules et agrégats, isolés ou adsorbés sur des surfaces. Elles s’ouvrent également vers les domaines des nanosciences et des attosciences (étude de la dynamique des systèmes à l’échelle de temps de l’attoseconde). L’unité comporte une importante composante expérimentale, développant conjointement des activités de recherche, d’instrumentation, mais aussi de valorisation. Les spectroscopies X, XUV et électroniques sont les outils communs à ces équipes qui, réunies au LCPMR, constituent un pôle d’innovation et d’expertise reconnu pour ces techniques. Dans ce contexte, une très intense activité est développée autour de l’utilisation du rayonnement synchrotron, non seulement en Europe : ESRF (Grenoble), BESSY (Berlin), SLS (Villingen), ELETTRA (Trieste), Max (Lund) et SOLEIL, mais aussi aux Etats-Unis (ALS), et au Japon (Photon Factory). La composante théorique du laboratoire regroupe deux équipes dans la modélisation des solides et des systèmes moléculaires excités en couche interne, ainsi que dans la description de la réponse aux temps ultra-courts de systèmes atomiques et moléculaires soumis à des champs intenses.
Le Laboratoire relève de :
- la Faculté de Chimie, UFR 926
- l’Ecole Doctorale 388 : Chimie Physique et Chimie Analytique
- l’Institut Parisien de Chimie Physique et Théorique IP2CT (FR2622) avec, comme partenaires, le Laboratoire de Chimie Théorique (UMR7616) et le Laboratoire MONARIS (De la molécule aux nano-objets : réactivité, interactions et spectroscopies, UMR 8233).